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Ayant grande faiblesse pour la poésie parmi d'autres faiblesses, je trouve un plaisir jouïssif devant votre délicieuse poésie. Elle est d'une douceur, d'une tendresse du détail, simple des mots bien trouvés,des rimes simples et le tout d'une fraîcheur qui couvre la sensualitée. rIEN 0 CRITIQUER QUE DU BONHEUR DE L AVOIR LU ! merci de ce plaisir
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Ayant grande faiblesse pour la poésie parmi d'autres faiblesses, je trouve un plaisir jouïssif devant votre délicieuse poésie. Elle est d'une douceur, d'une tendresse du détail, simple des mots bien trouvés,des rimes simples et le tout d'une fraîcheur qui couvre la sensualitée. rIEN 0 CRITIQUER QUE DU BONHEUR DE L AVOIR LU ! merci de ce plaisir
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Ayant grande faiblesse pour la poésie parmi d'autres faiblesses, je trouve un plaisir jouïssif devant votre délicieuse poésie. Elle est d'une douceur, d'une tendresse du détail, simple des mots bien trouvés,des rimes simples et le tout d'une fraîcheur qui couvre la sensualitée. rIEN 0 CRITIQUER QUE DU BONHEUR DE L AVOIR LU ! merci de ce plaisir
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je lisais depuis tout a l'heure des "pseudo- poèmes" (hem hem, no coment) et je vois enfin une lueur d'espoir en lisant ces vers..seul reproche : domage kyé pas de saut de ligne, la lecture en est gênée..lol..allez continue a nous faire rêver
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c super joli bravoooooooooooooooo!!!!!!!!!!
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bravo tres beau!
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Bravo ! Très beau ...
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Je vous presente un poeme pour la 2ieme fois et vos commentaires sont tjs appréciés... Le titre c'est le passé de ton enfance
Dans un ciel noir de charbon ardent Une brassée d'étoile au firmament La rondeur de la lune illuminant La blancheur de ton corp sur le lit reposant
Alangui fleur blanche sur l'onde derivant Dans une riviere de sommeil glissant Dans l'abîme sans fond ,le néant Ton coeur me criant, tout son sang giclant Les mots que tu me susurre tendrement Qui arrive doucement, lentement mais si ardement
Mal a force d'entendre cette pénible souffrance Qui dure depuis ton astreignante enfance Dans ce ciel noir de charbon ardent Je vois tout ton passé déferlant qui me rappel le temps, Où toi mon éternel amour, mon amant Se noyais,dans les flammes coulant De la ferveur de mes yeux perçant
fin je sais pas si vous avez aimez... xxx Audrey
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