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Des larmes trop longtemps retenues, Un chagrin mis de coté, Cette douleur toujours perçue, Et ce vide jamais comblé.
Déjà bientôt un an, Que ce mal s’est installé, Et pourtant au fil du temps, Je n’ai fais que l’éviter.
Aujourd’hui j’ai compris Que la personne qui me manquait Est celle qui me donne le sourire, Celle qui m’aide a avancer.
Dans mon cœur elle a sa place, Et cela depuis bien longtemps, Et le sien est mon palace, Je l’espère éternellement…
Même si certains ont comblé Une infime partie du vide Ils ne remplacerons jamais La personne qui m’a fait revivre.
Anaiis
...Des mises au point qui rendent tout flou...
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